01 : Différence entre versions

De NSE
Aller à : navigation, rechercher
(Page créée avec « <br/> Les mathématiques sont la discipline des connaissances abstraites résultant de '''raisonnements logiques''' appliqués à des objets divers tels que les nombres, l... »)
 
 
(2 révisions intermédiaires par le même utilisateur non affichées)
Ligne 2 : Ligne 2 :
 
Les mathématiques sont la discipline des connaissances abstraites résultant de '''raisonnements logiques''' appliqués à des objets divers tels que les nombres, les formes, les structures et les transformations.
 
Les mathématiques sont la discipline des connaissances abstraites résultant de '''raisonnements logiques''' appliqués à des objets divers tels que les nombres, les formes, les structures et les transformations.
  
L'extension des mathématiques au cyberespace par [http://www.egeablog.net/index.php?post/2012/07/28/De-la-dialectique-%25C3%25A0-une-polylectique-strat%25C3%25A9gique Olivier Kempf] en juillet 2012 a mis en évidence ce que j'appelle l'agorique, comme les lois des relations des tiers non-exclu du polylogue au sein d'une agora et entre agoras, qu'elles soit du domaine du discours ou de la polémique.
+
L'extension des considérations de la stratégie au cyberespace par '''[http://www.egeablog.net/index.php?post/2012/07/28/De-la-dialectique-%25C3%25A0-une-polylectique-strat%25C3%25A9gique Olivier Kempf]''' en juillet 2012 a mis en évidence ce que j'appelle '''agorique''', comme les lois des relations '''des''' tiers non-exclus du '''polylogue''' au sein d'une '''agora'''' (i.e. marché compétitif d'une communauté globale Cf. RFC 6852) et '''entre''' agoras (closes ou poreuses), qu'elles soient du domaine du discours ou de la polémologie militaire.
  
La mention de Hobbes et sa contestation en commentaire sont particulièrement intéressante. A l'époque Olivier Kant avait questionné au sujet de sa pertinence à utiliser le mot polylectique comme pendant de dialectique dans les cas de conflits au "tiers inclu" ou "non-exclu", c'est à dire (cf Poincaré) complexe. C'est à dire non-analytiquement solubles en temps fini. A mon avis, l'anoptique d'Olivier Auber questionne la lacture traditionnelle de Hobbes et du Leviathan en introduisant la notion d'Etre et donc d'Etat (gigantesque être artificiel hobbesion dont l'âme est la souveraineté) en réseau.  
+
La mention de Hobbes, puis sa contestation en commentaire, sont particulièrement intéressantes. A l'époque, '''Olivier Kempf''' avait questionné au sujet de sa pertinence à utiliser le mot "polylectique" comme pendant de "dialectique" dans les cas de conflits aux "tiers inclus" (le pluriel est de moi, bien que je préfère "aux tiers non-exclus", c'est à dire (cf. Poincaré) complexe).  
  
Je ne suis pas helleniste mais je comprends que "dia" de dialectique veut dire clarification de ce qui est lié (donc de bout en bout). Une clarification du sens devrait donc se faire entre dialectique pour résoudre une alternative, et diaplexie pour faire émerger la résolution d'une polypolémique.
+
Ceci veut dire que l'on est entré dans le "non-analytiquement solubles" en temps fini (et cela commence à 3 protagonistes: les nuages de radiations nucléaires se propage plus vite). A mon avis, l'anoptique d'Olivier Auber questionne la lecture traditionnelle de Hobbes et du Léviathan en introduisant la notion d'Etre et donc d'Etat (gigantesque être artificiel hobbesien dont l'âme est la souveraineté) "en réseau". Il me parait nécessaire (et de ceci résulte mon attention renouvelée pour la "multitude") de réécrire a relecture de Hobbes (logique de l'état moderne) en Hobbes postmoderne (état en réseau plus machina). D'autant qu'Eric Lacombe ajoute la proposition holique [d'utiliser une modélisation en regroupement de "holons") : je n'arrive pas à mesurer à bien intégrer le concept au réseau et si cela simplexifierait notre perspective polylectique ?
  
Dans ce scrable mental, Paul Mathias a introduit la clé : soit nous raisonnons sur un fil logique, soit "en réseau" et nous faisons alors de diktyologie. Avec le dièze (c'est bien plus qu'un bémol) de l'ontoterminologie de Hristophe Roche. Je cite (je ne suis pas le seul à pratiquer la glossolalie numérique). Rappelons que le néologisme "ontoterminologie" a été introduit en 2007 lors de la première conférence TOTh par Christophe Roche de la manière suivante :
+
'''Hobbes''' introduit l'Etat comme protecteur externe et contre la multitude interne.
 +
 
 +
Je ne suis pas helléniste mais je comprends que "dia" de dialectique veut dire clarification/tri de ce qui est lié (donc de bout en bout). Une clarification du sens devrait donc se faire entre "dialectique" pour résoudre une alternative de bout en bout du réseau, et diaplexie pour faire émerger la résolution d'une polypolémique interne à une complexité en réseau (exemple, apprentissage profond, ou G20)?
 +
 
 +
Dans ce scrabble mental, '''Paul Mathias''' a introduit la clé : soit nous raisonnons sur un fil logique (sorite ?), soit "en réseau" et nous faisons alors de la '''diktyologie''', recherchant l'outillage adéquat. Avec le double dièse (''c'est bien plus qu'un bémol !'') :
 +
 
 +
1. de la question "la modération/protection de l'Etat" sont-elles toujours possibles dans ce contexte ?
 +
 +
2. de l''''[http://www.interligence.fr/index.php/Ontoterminologie ontoterminologie]''' de '''Christophe Roche'''. Je cite (''je ne suis pas le seul à pratiquer la glossolalie numérique'') :
 +
 
 +
: le néologisme "[http://www.interligence.fr/index.php/Ontoterminologie ontoterminologie]" a été introduit en 2007 lors de la première [http://toth.condillac.org/conference conférence TOTh] pour décrire une "terminologie dont le système notionnel est une ontologie formelle, insiste sur l'importance des principes épistémologiques qui président à la conceptualisation du modèle - c'est l'ontologie dans sa définition première.
 +
:Elle insiste également sur la nécessité d'une approche scientifique de la terminologie où l'expert joue un rôle fondamental - c'est l'ontologie dans ses définitions plus récentes où la logique et les langages de représentation des connaissances tiennent une place prépondérante.
 +
:Enfin, elle met en relation le modèle conceptuel et les termes (d'usage ou normés) qui en parlent, tout en distinguant les définitions formelles des concepts (spécifications logiques) des définitions en langue naturelle des termes (explications linguistiques)"
 +
 
 +
Christophe Roche ne parle pas de diktyologie sémantique mais ce qu'il dit la sous-tend.
 +
 
 +
A ce niveau, il me semble plus homogène de définir la mathémagorique comme "la discipline des connaissances abstraites résultant de '''raisonnements agoriques''' appliqués à des objets divers tels que les nombres, les formes, les structures et les transformations - et sans doute plus si affinités ...- dans le but d'atteindre des conclusions simplexes".
 +
 
 +
Je délire sans doute.
 +
jfc
  
:"terminologie dont le système notionnel est une ontologie formelle, insiste sur l'importance des principes épistémologiques qui président à la conceptualisation du modèle - c'est l'ontologie dans sa définition première. Elle insiste également sur la nécessité d'une approche scientifique de la terminologie où l'expert joue un rôle fondamental - c'est l'ontologie dans ses définitions plus récentes où la logique et les langages de représentation des connaissances tiennent une place prépondérante. Enfin, elle met en relation le modèle conceptuel et les termes (d'usage ou normés) qui en parlent, tout en distinguant les définitions formelles des concepts (spécifications logiques) des définitions en langue naturelle des termes (explications linguistiques)" (Roche Christophe)
 
 
<br/>
 
<br/>

Version actuelle en date du 28 juin 2019 à 18:06


Les mathématiques sont la discipline des connaissances abstraites résultant de raisonnements logiques appliqués à des objets divers tels que les nombres, les formes, les structures et les transformations.

L'extension des considérations de la stratégie au cyberespace par Olivier Kempf en juillet 2012 a mis en évidence ce que j'appelle agorique, comme les lois des relations des tiers non-exclus du polylogue au sein d'une agora' (i.e. marché compétitif d'une communauté globale Cf. RFC 6852) et entre agoras (closes ou poreuses), qu'elles soient du domaine du discours ou de la polémologie militaire.

La mention de Hobbes, puis sa contestation en commentaire, sont particulièrement intéressantes. A l'époque, Olivier Kempf avait questionné au sujet de sa pertinence à utiliser le mot "polylectique" comme pendant de "dialectique" dans les cas de conflits aux "tiers inclus" (le pluriel est de moi, bien que je préfère "aux tiers non-exclus", c'est à dire (cf. Poincaré) complexe).

Ceci veut dire que l'on est entré dans le "non-analytiquement solubles" en temps fini (et cela commence à 3 protagonistes: les nuages de radiations nucléaires se propage plus vite). A mon avis, l'anoptique d'Olivier Auber questionne la lecture traditionnelle de Hobbes et du Léviathan en introduisant la notion d'Etre et donc d'Etat (gigantesque être artificiel hobbesien dont l'âme est la souveraineté) "en réseau". Il me parait nécessaire (et de ceci résulte mon attention renouvelée pour la "multitude") de réécrire a relecture de Hobbes (logique de l'état moderne) en Hobbes postmoderne (état en réseau plus machina). D'autant qu'Eric Lacombe ajoute la proposition holique [d'utiliser une modélisation en regroupement de "holons") : je n'arrive pas à mesurer à bien intégrer le concept au réseau et si cela simplexifierait notre perspective polylectique ?

Hobbes introduit l'Etat comme protecteur externe et contre la multitude interne.

Je ne suis pas helléniste mais je comprends que "dia" de dialectique veut dire clarification/tri de ce qui est lié (donc de bout en bout). Une clarification du sens devrait donc se faire entre "dialectique" pour résoudre une alternative de bout en bout du réseau, et diaplexie pour faire émerger la résolution d'une polypolémique interne à une complexité en réseau (exemple, apprentissage profond, ou G20)?

Dans ce scrabble mental, Paul Mathias a introduit la clé : soit nous raisonnons sur un fil logique (sorite ?), soit "en réseau" et nous faisons alors de la diktyologie, recherchant l'outillage adéquat. Avec le double dièse (c'est bien plus qu'un bémol !) :

1. de la question "la modération/protection de l'Etat" sont-elles toujours possibles dans ce contexte ?

2. de l'ontoterminologie de Christophe Roche. Je cite (je ne suis pas le seul à pratiquer la glossolalie numérique) :

le néologisme "ontoterminologie" a été introduit en 2007 lors de la première conférence TOTh pour décrire une "terminologie dont le système notionnel est une ontologie formelle, insiste sur l'importance des principes épistémologiques qui président à la conceptualisation du modèle - c'est l'ontologie dans sa définition première.
Elle insiste également sur la nécessité d'une approche scientifique de la terminologie où l'expert joue un rôle fondamental - c'est l'ontologie dans ses définitions plus récentes où la logique et les langages de représentation des connaissances tiennent une place prépondérante.
Enfin, elle met en relation le modèle conceptuel et les termes (d'usage ou normés) qui en parlent, tout en distinguant les définitions formelles des concepts (spécifications logiques) des définitions en langue naturelle des termes (explications linguistiques)"

Christophe Roche ne parle pas de diktyologie sémantique mais ce qu'il dit la sous-tend.

A ce niveau, il me semble plus homogène de définir la mathémagorique comme "la discipline des connaissances abstraites résultant de raisonnements agoriques appliqués à des objets divers tels que les nombres, les formes, les structures et les transformations - et sans doute plus si affinités ...- dans le but d'atteindre des conclusions simplexes".

Je délire sans doute. jfc