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De NSE
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Les mathématiques sont la discipline des connaissances abstraites résultant de raisonnements logiques appliqués à des objets divers tels que les nombres, les formes, les structures et les transformations.

L'extension des considérations de la stratégie au cyberespace par Olivier Kempf en juillet 2012 a mis en évidence ce que j'appelle l'agorique, comme les lois des relations des tiers non-exclus du polylogue au sein d'une agora' et entre agoras (closes ou poreuses), qu'elles soient du domaine du discours ou de la polémologie militaire.

La mention de Hobbes et sa contestation en commentaire sont particulièrement intéressantes. A l'époque, Olivier Kant, avait questionné au sujet de sa pertinence à utiliser le mot "polylectique" comme pendant de "dialectique" dans les cas de conflits aux "tiers inclus" (le pluriel est de moi, bien que je préfère "aux tiers non-exclus", c'est à dire (cf Poincaré) complexe). Ceci veut dire que l'on est entré dans le "non-analytiquement solubles" en temps fini (et cela commence à 3). A mon avis, l'anoptique d'Olivier Auber questionne la lecture traditionnelle de Hobbes et du Leviathan en introduisant la notion d'Etre et donc d'Etat (gigantesque être artificiel hobbesion dont l'âme est la souveraineté) "en réseau". Ce à quoi, eric Lacombe ajoute la proposition holique, de considérer un regroupement par "holon" sur lequel je n'arrive pas à bien comprendre ce qu'est le holon dans une perpsective polylectique ?

Je ne suis pas helleniste mais je comprends que "dia" de dialectique veut dire clarification/tri de ce qui est lié (donc de bout en bout). Une clarification du sens devrait donc se faire entre "dialectique" pour résoudre une alternative de bout en bout du réseau, et diaplexie pour faire émerger la résolution d'une polypolémique interne au réseau (exemple, apprentissage profond ou G20)?

Dans ce scrable mental, Paul Mathias a introduit la clé : soit nous raisonnons sur un fil logique (sorite ?), soit "en réseau" et nous faisons alors de diktyologie. Avec le dièze (c'est bien plus qu'un bémol !) de l'ontoterminologie de Christophe Roche. Je cite (je ne suis pas le seul à pratiquer la glossolalie numérique) :

le néologisme "ontoterminologie" a été introduit en 2007 lors de la première conférence TOTh pour décrire une "terminologie dont le système notionnel est une ontologie formelle, insiste sur l'importance des principes épistémologiques qui président à la conceptualisation du modèle - c'est l'ontologie dans sa définition première. Elle insiste également sur la nécessité d'une approche scientifique de la terminologie où l'expert joue un rôle fondamental - c'est l'ontologie dans ses définitions plus récentes où la logique et les langages de représentation des connaissances tiennent une place prépondérante. Enfin, elle met en relation le modèle conceptuel et les termes (d'usage ou normés) qui en parlent, tout en distinguant les définitions formelles des concepts (spécifications logiques) des définitions en langue naturelle des termes (explications linguistiques)"