ALFA

De NSE
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Nos hypothèses ontiques personnelles reposent sur notre foi d'exister, soit comme être unique (solipsisme) soit comme partie prenante d'un univers qui résulte de trois grandes sédimentations dont nous homogénéisons actuellement notre compréhension et notre pratique communes avec l'aide du plus machina.

Il y a d'abord eu l'apport anoptique antérieur au big-bang : l'invisible. Il est ontologique puisqu'il a été suivi par les existants optiquement observables de la strate thermodynamique du visible. Ensuite l'homme a engagé la strate du lisible partagé : la diffusion de la connaissance de l'expérience et de l'étude humaine, dans les écrits puis les livres et aujourd'hui les perférents.

Nous sommes maintenant parvenus au numérible et à l'émergence de nos "numwelts" et de celui de ce "plus machina" qui nous permet d'aborder et de traiter la question de son interligence infodynamique et de son comportement à partir de l'observation, de notre analyse cérébrale naturelle et, récemment, avec la facilitation apportée par la neuronique évolutive artificielle. A partir de là nous avons engagé l'augmentation (Douglas C. Engelbart, Augmenter l'intellect humain. Oct. 1962).

L'architectonie ALFA est explorée par le LERDA. Elle vise une modélisation topologique dynamiquement compatible avec les trois apports, pour en tenter, et le cas échéant valider par sa pratique, la modélisation interdisciplinaire (ID) homogène, intellectuelle [1] , conceptuelle [2] et ontoterminologique [3], sous licence ouverte, qui semble nécessaire à la recherche sapiensique de simplexifications communes.

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  1. c.-à-d. à partir du souci d'une cohérence "tous azimuts" indéfinie.
  2. c.-à-d. à partir de l'analyse de la réalité.
  3. c.-à-d. à partir de l'analyse du discours spécialisé.