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A bien réfléchir quant à la multitude de notions nouvelles ou ajustées aux aspects de notre temps, il semble qu'un besoin commun émerge qui est celle de ce que devrait être une '''sapience numérique'''. Le terme de "sapience" est ancien qui nomme (''Dans un style littéraire et archaïsant'') le savoir issu de la connaissance livresque ou considéré globalement en tant que somme des connaissances et la sagesse qui peut résulter de sa maturation. La sapience numérique sera donc le savoir '''issu''' de la connaissance numérique à la cohérence propre et transdisciplinaire informatiquement analysée par un processus que nous dirons de '''sapitation'''.
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A bien réfléchir quant à la multitude de notions nouvelles ou ajustées aux aspects de notre temps, il semble qu'un besoin commun émerge qui est celui de ce que devrait être une '''sapience humanumérique''' glocalement individuelle, ou partagée à travers le réseau comme un '''référent communautaire commun''' (cf. RFC 6852) pour les processus informatiquement assistés ou vicariés.
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Le terme de "sapience" nomme (''[https://www.cnrtl.fr/definition/sapience dans un style littéraire et archaïsant]'') le '''savoir''' issu de la connaissance livresque, ou encore considérée globalement en tant que somme des connaissances, et la sagesse qui peut résulter de sa propre maturation personnelle ou communautaire. La "'''sapience numérique'''" sera donc le savoir, '''issu''' de la connaissance numériquement collectée, né de la cohérence interne et transdisciplinaire informatiquement analysée et validée par un processus que nous appellerons '''sapitation'''.
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L'étude de la sapience, de la sapitation et de son intégration capacitive et néguentropique aux réseaux personnels et globaux (''services étendus''), de sa capacité de validation des conflexions naturelles et artificielles, et sa participation aux phénomènes d'émergences, est le fond de la préoccupation technologique soutenue par NSE.
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Elle se pose notamment la question de l'évolution de la contexture idéelle humaine, de la pensée mésopotamienne à nos jours, et des grandes bifurcations socratiques et idéalistes quant à l'[[Glossaire#Interligence|interligence]] formelle, sa vicariance technonumérique, et de l'étude d'une émergence d'une vision [[Glossaire#Idéréalisme|idéréaliste]] profonde.
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Version actuelle en date du 22 juillet 2020 à 08:35


A bien réfléchir quant à la multitude de notions nouvelles ou ajustées aux aspects de notre temps, il semble qu'un besoin commun émerge qui est celui de ce que devrait être une sapience humanumérique glocalement individuelle, ou partagée à travers le réseau comme un référent communautaire commun (cf. RFC 6852) pour les processus informatiquement assistés ou vicariés.

Le terme de "sapience" nomme (dans un style littéraire et archaïsant) le savoir issu de la connaissance livresque, ou encore considérée globalement en tant que somme des connaissances, et la sagesse qui peut résulter de sa propre maturation personnelle ou communautaire. La "sapience numérique" sera donc le savoir, issu de la connaissance numériquement collectée, né de la cohérence interne et transdisciplinaire informatiquement analysée et validée par un processus que nous appellerons sapitation.

L'étude de la sapience, de la sapitation et de son intégration capacitive et néguentropique aux réseaux personnels et globaux (services étendus), de sa capacité de validation des conflexions naturelles et artificielles, et sa participation aux phénomènes d'émergences, est le fond de la préoccupation technologique soutenue par NSE.

Elle se pose notamment la question de l'évolution de la contexture idéelle humaine, de la pensée mésopotamienne à nos jours, et des grandes bifurcations socratiques et idéalistes quant à l'interligence formelle, sa vicariance technonumérique, et de l'étude d'une émergence d'une vision idéréaliste profonde.